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Situation #1 : Françoise Sullivan

21 juin 2017 de 17h à 19h en présence de l'artiste

Situation #1 : Françoise Sullivan

Françoise Sullivan
Pourquoi les raffineries?1973-2017
Impression numérique
Digital print
Edition 15
102 x 76cm (40 1/4″ x 30″)
Photo: Guy L’Heureux

 

Dévoilement de l’œuvre Pourquoi les raffineries?

À la Galerie Hugues Charbonneau

Avec l’aimable collaboration de la Galerie Simon Blais

(Premier événement de la série 8 artistes : 8 situations)

Françoise Sullivan, signataire du manifeste Refus global en 1948, reste à ce jour une des forces créatrices des plus inspirantes de notre communauté artistique. Artiste pluri-disciplinaire accomplie, très tôt dans sa carrière elle sortira des lieux habituels de diffusion de l’art pour composer directement avec la nature et la ville.

En amont avec cette idée de repousser les normes et limites de la galerie d’art actuel, nous inaugurerons le 21 juin prochain une programmation estivale inédite. 8 situations artistiques réfléchies par 8 artistes seront déployées en plein air et dans des espaces virtuels dans le cadre de ce projet.

Il semblait tout à fait pertinent à nos yeux d’inviter Françoise Sullivan lors de la soirée d’ouverture de cette série d’évènements. En plus de la présence de l’artiste, nous aurons le privilège de dévoiler une de ses œuvres récentes; un assemblage numérique basé sur une de ses «marches» performée à Montréal durant les années soixante-dix.

La composition en grille est rythmée à la manière d’une partition musicale, marquée par les gestes de l’artiste et les cheminées d’une verticalité stridente apparaissant puis disparaissant derrière des effluves de fumée pétrolifère. Avec une économie de moyens d’une grande efficacité, le contraste entre les mouvements libre de l’artiste et son environnement austère nous renvoie au titre de l’œuvre : Pourquoi les raffineries?

La galerie tient à remercier l’artiste d’avoir généreusement accepté cette invitation. Merci à Simon Blais et Paul Bradley pour leur enthousiaste contribution à ce projet.

Après le 21 juin il sera possible de voir l’œuvre par rendez-vous uniquement.