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Art Toronto 2021

29 octobre au 7 novembre 2021

Art Toronto 2021

La foire Art Toronto propose un plan hybride pour son édition 2021, avec un événement en personne du 29 au 31 octobre au Metro Toronto Convention Centre, complété par une foire en ligne du 29 octobre au 7 novembre. > https://arttoronto.ca

Kiosque A12
MARIA HUPFIELD
MORIDJA KITENGE BANZA
MANUEL MATHIEU

En ligne
SHUVINAI ASHOONA
DAVID LAFRANCE
CINDY PHENIX

Maria Hupfield pendant la performance « The Kind of Dream You’ve Never Seen » 2018, Brooklyn Museum, NY, USA
Maria Hupfield, Double Triangles, 2018 Tissus à payettes, rubans, structure en bois sur roues 59″ h Vendue Double Triangles (2018) was made at the Triangle Arts DUMBO Residency and worn by Maria Hupfield and New York–based, long-term collaborator Electric Djinn during The Kind of Dream You’ve Never Seen, a performance in two 25-minute segments in July 2018 at the Brooklyn Museum, New York.
Maria Hupfield, Artist Tour Guide, 2013 T-shirt, tresses, capuche en feutre avec peinture arcrylique, structure en bois sur roues Hauteur de 70″ 18 000 CAD “For Artist Tour Guide I lead three tours over the duration of this exhibition at the National Museum of the American Indian (NY) [Wearing Our Identity – The First Peoples Collection], not as an archeologist, Anishnaabe, or docent, but as an artist. Taking the form of an exhibition tour, this performance provides an ‘in-the-moment’ encounter with an artist in the museum, emphasizing the value of shared experience in the creation and memory of a work of art.”
Maria Hupfield, Truth Machine / Lie Detector, 2017 Tissu doré, rembourage en polyester 104 x 25 x 17 cm (41” x 10” x 6,5”) Vendue We became aware of Truth Machine / Lie Detector (2017) during Maria Hupfield’s second residency at the Museum of Arts and Design, New York, for the exhibition Open Views: Craft in the Expanded Field (2017–18).
Moridja Kitenge Banza, Chiromancie #12 – Goma n°1, 2021 Acrylique et sable sur toile 122 x 122 cm (48” x 48”) Vendue « L’idée du sable c’était pour faire référence à la rue où j’ai grandi qui était en soi mon territoire d’enfance. Mais également dans un souci de recherche de la texture. Cette série à un sous-titre : Goma. Je fais référence à une ville au Congo ou depuis 1994 il y a de l’instabilité politique, mais surtout à cause de l’éruption volcanique de cette année. Dans cette série, j’insère le tracé de la lave de volcan avec les lignes de ma main. »
Moridja Kitenge Banza, Chiromancie #12 – Goma n°2, 2021 Acrylique et sable sur toile 122 x 122 cm (48” x 48”) Vendue « L’idée du sable c’était pour faire référence à la rue où j’ai grandi qui était en soi mon territoire d’enfance. Mais également dans un souci de recherche de la texture. Cette série à un sous-titre : Goma. Je fais référence à une ville au Congo ou depuis 1994 il y a de l’instabilité politique, mais surtout à cause de l’éruption volcanique de cette année. Dans cette série, j’insère le tracé de la lave de volcan avec les lignes de ma main. »
Moridja Kitenge Banza, Chiromancie #12 – Goma n°3, 2021 Acrylique et sable sur toile 122 x 122 cm (48” x 48”) Vendue « L’idée du sable c’était pour faire référence à la rue où j’ai grandi qui était en soi mon territoire d’enfance. Mais également dans un souci de recherche de la texture. Cette série à un sous-titre : Goma. Je fais référence à une ville au Congo ou depuis 1994 il y a de l’instabilité politique, mais surtout à cause de l’éruption volcanique de cette année. Dans cette série, j’insère le tracé de la lave de volcan avec les lignes de ma main. »
Moridja Kitenge Banza, Chiromancie #12 – Goma n°4, 2021 Acrylique et sable sur toile 122 x 122 cm (48” x 48”) 8500 CAD « L’idée du sable c’était pour faire référence à la rue où j’ai grandi qui était en soi mon territoire d’enfance. Mais également dans un souci de recherche de la texture. Cette série à un sous-titre : Goma. Je fais référence à une ville au Congo ou depuis 1994 il y a de l’instabilité politique, mais surtout à cause de l’éruption volcanique de cette année. Dans cette série, j’insère le tracé de la lave de volcan avec les lignes de ma main. »
Manuel Mathieu, Saut Mathurine, 2021 Techniques mixtes et tissu brûlé sur toile 160 x 149,5 cm (63” x 58,5”) Vendue
Manuel Mathieu, Family Portrait, 2021 Techniques mixtes et tissu brûlé sur toile 183 x 152,5 cm (72” x 60”) Vendue « Family portrait a été réalisé à Sonoma lors d’une résidence. C’est la première œuvre intégrant des bandes de tissus brûlés. Dans une recherche d’anthropomorphiser ces bandes, les cercles rouges font référence à des yeux. Ils sont organisés comme s’il s’agissait d’une photo de famille sur un fond de paysage. Cette recherche contribue à mes réflexions sur le symbolisme. »
Manuel Mathieu, Black Tongue, 2021 Techniques mixtes sur toile 91,5 x 91,5 cm (36” x 36”) Vendue « Black tongue a été réalisé durant cette même résidence. C’est une œuvre qui s’est, dans sa construction, révélée à moi. Je remarque une forme de langue en bas à gauche d’un personnage entre la figuration et le paysage. En nommant le tableau comme ça, j’accepte sa présence et j’invite le spectateur à l’imaginer avec moi. »
Manuel Mathieu, The Window, 2021 Techniques mixtes et tissu sur toile 101,5 x 101,5 cm (40” x 40”) Vendue « The window – J’ai souvent pensé au tableau comme une fenêtre, une ouverture vers quelque chose ou encore un cadre qui détermine notre regard. Dans ce cas là, j’utilise le tissu comme une manière de réaffirmer ce cadrage. Dans une autre œuvre, Outside window*, je joue encore sur cette idée de cadre dans le cadre et je parle d’un rapport d’intérieur et d’extérieur. Cela me fait me demander de quel côté de la fenêtre sommes nous ? Regardons-nous à l’extérieur ou à l’intérieur et l’intérieur de quoi ? J’aime qu’un tableau puisse alimenter ce genre de réflexions. »
Manuel Mathieu, Following an Idea, 2021 Techniques mixtes sur toile 61 x 61 cm (24” x 24”) Vendue « Following an idea fait partie de plusieurs de mes tableaux/dessins* (Searching for an idea 1e t 2, Waking up with an idea) qui s’intéressent à la visualisation d’une idée. Dans ce tableau la fluidité de la peinture suggère que cette idée se laisse mener par la matérialité de celle-ci. »
Shuvinai Ashoona, Untitled, 2020 Encre et pastel sur papier (NON ENCADRÉE) 76 x 58,5 cm (29,9” x 23”) 2800 CAD Le travail de Shuvinai se distingue de celui des autres artistes travaillant à Kinngait. Ses dessins imaginent le passé et le présent fondus en un avenir prophétique imagé de créatures hybrides homme-animal, de femmes donnant naissance à des mondes, de paysages mystiques ou d’un autre monde, bien que clairement inspirés par le terrain nordique qu’elle habite.
David Lafrance, Concombre la nuit, 2021 Encre sur papier (ENCADRÉE) 73,7 x 53,3 cm (29” x 21”) 3000 CAD Les nouvelles œuvres de Lafrance témoignent d’une nature qu’on scrute de près, accroupi dans le jardin pour en contempler le rythme lent. Assis sur son tabouret, l’artiste découvre ce qui lui est immédiat et à portée de main dans un rapport de réciprocité, voir même de symbiose.
Cindy Phenix, Tolerance for Ambiguity, 2021 Huile et crayon de couleur sur panneau de bois 30,5 x 22,9 cm (12” x 9”) 5000 USD L’œuvre de Cindy Phenix aborde la relation entre les sphères publiques et privées. Elle explore les différentes normes qui les régissent, la dynamique de leur coexistence, les relations de pouvoir dont elles sont l’arène et les sentiments qui en dérivent. À cet effet, l’artiste crée des scènes complexes dont se dégagent de puissants mouvements narratifs et affectifs.