Dans son œuvre, l’artiste d’origine sri-lankaise Rajni Perera explore la mythologie diasporique à travers le prisme de la science-fiction. Puisant dans sa propre vaste expérience visuelle de la culture immigrante et dans les préoccupations environnementales nées du colonialisme et des ravages de l’extraction abusive des ressources, elle imagine un monde alternatif triomphant.
Rajni Perera a été invitée à créer deux nouvelles installations qui seront dévoilées lors de la Biennale de Sharjah en 2025. En 2024, elle a présenté des œuvres à la Biennale d’art de Toronto, à la Fondation Phi (avec Marigold Santos) et au Musée d’art de Joliette dans le cadre d’une exposition individuelle. Ses œuvres ont auparavant été exposées au Musée McMichael (Kleinburg, Canada, 2022-2023), à Temple Contemporary (Philadelphie, É-U, 2022), à Jeffrey Deitch (Los Angeles, 2022), au Musée des beaux-arts du Canada (Ottawa, Canada, 2021), à Glasgow Tramway (Glasgow, Écosse, 2020), au Museum of Contemporary Art (Toronto, Canada, 2018), Le Musée d’art moderne (Rio, Brésil), à la Galerie d’art de l’Université York (Toronto, Canada, 2017) et à la Biennale d’art de Colombo (Édimbourg, Royaume-Uni, 2017). Le Musée des beaux-arts de l’Ontario (AGO) a fait l’acquisition d’une de ses œuvres qu’il a par la suite exposée en 2019.